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Prends la peine d'ignorer la tristesse des tiens

8 mars 2008

J'ai soulevé un pavé, et n'y ai vu que du

J'ai soulevé un pavé, et n'y ai vu que du désespoir.

Plus de révoltes, plus de création. Plus rien. Le vide est là et s'installe. Notre génération est morte en naissant.

Les gens prônent la débauche. Lisent des livres comme Hell ( de la merde en boîte si vous voulez mon avis).On s'enlise mais il n'y a rien à faire. La mort a frappée trois fois à notre porte. Nous lui aP2164501vo ouvert Sans création, il n'y a pas d'existence possible.


Je veux autre chose.


Je fais de la merde en ce moment, que puis je y faire. Je me fraie un chemin parmi la médiocrité. Il n'y a que ça, à perte de vue. Je m'accroche à ce que je cherche. Mon dernier espoir... sans ça : Je sombre. Avoir des rêves, c'est le seul moyen de s'en sortir. De tourner le dos à la mort, et lui disant "merde et à plus tard."


Coup de blues. Sur mon répondeur : un au revoir. J'entends derrière moi, le claquement des talons qui passent la porte. Je n'ai jamais retenu personne, ça ne commencera pas aujourd'hui. Qu'elle arrive à bon mon port. Je fume clope sur clope, on comble le vide avec ce que l'on a. On ne peut s'accomplir que seul. Jamais à deux.

Je me ferais voyant, renierais ma mort, rirais au nez de l'amour, tournerai le dos au bonheur. La seule chose qui compte à présent, c'est ce que je me suis mis en tête. Je ne lâcherais pas prise. Il ne le faut pas. Et au milieu de tout ce vide, je ferais.




_J'avance pour ne pas crever._







Puis partir, sans se retourner.
Aller de l'avant, sans desespérer.

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8 mars 2008

Au final, je crois qu'on en ressort plus mal

Copie_de_P6092678Au final, je crois qu'on en ressort plus mal qu'on l'aurait pensé. Mais on a passé de bons moments... Non ? Ca vaut peut être le coup de s'en prendre plein la gueule à certains moments, lorsqu'on voit les bons instants.
- Ta gueule ! Tu frises la mièvrerie.
- Ouai, mais lorsqu'on parle d'amour, on est toujours un peu niais. Rien que ce mot : A M O U R ; rien que ça c'est déjà un peu niais. C'est tellement utopique, tellement indéfinissable. Changeant de formes pour chaque personnes. On en parle, on parle. On en lit, on en regarde. Est ce une fantaisie de l'esprit ou est ce bien vrai. Une notion réelle qui ne tient en rien à la notion de rêverie. Toujours cette question : Es tu sûre de l'aimer vraiment ? Est ce ça l'amour ? Rester ?
- T'as18 ans .. Qu'est ce que tu connais de l'amour ?
- Bin, pas grand chose, c'est ça le problème. Lorsqu'on a 12 ans, on croit que c'est avoir le coeur qui bat fort, rougir pour rien. À cet âge là, l'amour tire plus du côté du béguin. Et puis après ? Après il y a des critères qui rentrent en jeux. Qui compliquent tout. On couche ensemble, et tout devient plus compliqué, plus fort. A préciser que le sexe est dissociable de l'amour. On peut baiser sans amour et aime sans baiser (euh.. ouai.. Ouai si tu le dis).
- Moi j'crois surtout que l'amour c'est du foutage de gueule, tu te mets dans la merde volontaire et t'enlise. Tu sais que tu fonce vers le ravin mais tu t'en fous, t'en as envie.
- C'est vrai aussi. On recule parfois sans revenir On repart, sans se retourner. On souffre mais on aime. C'est peu être l'essentiel.
- P'tain le lourd. Tu me soule. Allume toi une clope. Bois un coup. Trouve une nana. Passe la nuit avec et arrête avec ces conneries. On finit toujours seul, cela prouve l'incompatibilité des êtres humains. Combien de couple reste ensemble par habitude ? Il faut se suffire. Le sexe c'est bon, l'amour, c'est mal.
- Oui.. Tu as peut être raison mais et l'amour ?
- Un éternel questionnement sans réponse.. On cherche, on cherche.. On ne trouve pas ou pour un temps. Ce la n'est jamais éternel.. Rien ne l'est.
- Et si j'y crois, que je veux y croire. Que je cherche à trouver cette personne qui restera prés de moi plus longtemps que les autres.. Qu'est que ça peut faire...
- Rien. Tu es juste dans la merde.

8 mars 2008

M : Je n'ai pas toujours été comme ça. Il y a

M : Je n'ai pas toujours été comme ça. Il y a encore quelques temps, je croyais à toutes ces conneries.
Voix Intérieur : Ouai mais à une époque tu croyais aussi au père Noël.
M :
C'est sûre. Sauf que lui contrairement aux nanas, il me faisait des cadeaux.
Bref tais toi. Laisse moi finir. Donc je disais que oui, j'ai été un bon gars. J'n'ai pas mauvais fond mais là, j'croupie de l'intérieur. Plus j'avance moins j'y crois. J'suis blasé mon gars. Je m'accroche à une guêpière. Faut faire gaffe à ces bêtes là, elles piquent.

Voix Intérieur :T'aime lorsque ça pique..
M :
Et quand ça claque aussi. Les femmes, c'est comme la came, c'est génial t'adore ça. Mais finalement tu finis par crever seul.
Voix Intérieur : Une femme... C'est.. C'est un être humain. Un être doté de sentiments.
M : Cool.. J'en avais aussi à une époque. Saloperies, j'en ai plein la chaussure. Mon public féminin va pas être contente, qu'importe. J'taille ma route. J'ai fais de l'esprit, mais ça a mal tourné...

8 mars 2008

Pas de page d'accueil.. Je déteste ça.

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Pas de page d'accueil.. Je déteste ça.

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